L’Égypte soulève un point d’ordre pour demander à Israël de répondre à toutes les recommandations!
L’adoption du rapport du groupe de travail d’Israël ce matin a été suspendu jusqu’à demain à cause d’un point d’ordre de l’Égypte.
L’adoption du rapport du groupe de travail d’Israël ce matin a été suspendu jusqu’à demain à cause d’un point d’ordre de l’Égypte.
Le Rapporteur Spécial sur la situation des défenseurs des droits de l’homme (RS), Margaret Sekaggya, a consacré son premier rapport au Conseil des droits de l’homme (CDH) au thème des défenseurs de droits de l’homme à l’EPU et comment ce mécanisme peut améliorer leur situation.
Après trois mois de négociations, le rapport final du groupe de travail de l’Ouzbékistan est enfin disponible. Durant l’adoption du rapport le 15 décembre 2008, sept délégations avaient pris la parole pour demander que le rapport de l’Ouzbékistan indique un délai pour fournir une réponse aux recommandations. Malgré l’appel de la Suisse, de la France, du Royaume-Uni, du Canada, de l’Allemagne, du Mexique et des Pays-Bas de se conformer au format habituel et d’intenses discussions depuis, le document est resté inchangé.
Au delà de fournir des informations générales et des documents, nous avons rapidement commencé à développer des analyses: en une année, nous avons produit des analyses des déclarations de treize pays; nous avons montré comment certains thèmes sont traités au sein du processus; nous avons identifié pour chaque État examiné les recommandations acceptées et rejetées et nous avons classés les recommandations par États les ayant faites.
Aujourd’hui, Cuba sera pour la première fois examiné par le groupe de travail sur l’Examen Périodique Universel. La session est déjà historique: il y a plus de 100 États inscrits pour prendre la parole (alors que la moyenne se situe entre 40 et 50) et il y a eu plus de 300 rapports soumis par la société civile, c’est à dire plus que tous les rapports soumis lors de la session 1 ou 2 et le double de la session 3! Le résumé préparé par le Haut-Commissariat de tous ces rapports a par ailleurs été critiqué par Cuba lui-même pour laisser trop de place aux ONG internationales.